La Maison de Dernok Portenoire,artisan spécialisé en mécanique et ingénierie, est une petite bâtisse en pierre située dans une rue secondaire d’Ombrecité, à proximité des autres ateliers d’artisans.
La façade, simple mais robuste, est ornée d’une pancarte en fer forgé représentant un engrenage stylisé, indiquant discrètement la spécialité de son occupant.
Un auvent en bois protège l’entrée, où des caisses remplies de morceaux de métal, de bois, et de rouages attendent d’être triées. La porte est souvent entrouverte, laissant échapper un mélange de sons métalliques : le cliquetis des outils, le grincement des mécanismes, et parfois le bruit d’un marteau frappant délicatement une pièce fragile.
À l’intérieur, la maison est divisée en deux espaces principaux : l’atelier et le lieu de vie.
L’atelier : C’est le cœur de la maison, un véritable capharnaüm organisé. Les murs sont recouverts d’étagères surchargées de pièces détachées, d’outils, et de prototypes en tous genres. Une grande table de travail en bois, couverte de croquis, de vis, et d’engrenages, occupe le centre de la pièce.
Une lampe à huile suspendue éclaire cet espace, mettant en lumière les détails complexes des créations de Dernok.
Le sol est parsemé de copeaux de métal et de bois, signe d’un travail constant et acharné.
Le lieu de vie : Plus modeste et ordonné, il se compose d’un petit coin cuisine, d’un lit simple, et d’une étagère remplie de livres techniques et de carnets de notes. Contrairement à l’atelier, cet espace est presque minimaliste, servant uniquement de refuge pour ses moments de repos.
Ambiance : Dynamique et inspirante, un lieu où les idées prennent vie et où chaque objet raconte une histoire de création.
Visuel : Une maison où règne un équilibre entre chaos créatif et simplicité pragmatique, avec un atelier débordant d’activité et un espace de vie humble mais fonctionnel.
Sonorités : Le tintement des outils, le frottement du métal, et les murmures enthousiastes de Dernok lorsqu’il travaille sur un mécanisme complexe.
Odeurs : Mélange d’huile, de métal chauffé, et de bois fraîchement coupé, parfois adouci par l’arôme d’une tisane oubliée sur le comptoir.